Poisson-aroulettes

 Ma première crevaison en 15000km,  à la sortie d'Istanbul.  L'immense chantier du futur aéroport d'Istanbul.  Beaucoup de chiens en liberté ici aussi,  mais contrairement à la Gréce, ici ils ne manifestent aucun signe d’agressivité.  En remontant vers le nord, les paysages deviennent de plus en plus verdoyants.  A plusieurs reprises, je voie des serpents écrasés sur la route, il faut que je me méfie au bivouac, j'aime pas trop ces bêtes là. Encore de beaux minarets. Stop en turc ! non, ce ne sont pas des dunes,  ici il y a beaucoup de carrières de silice ... et de camions qui me doublent à toute allure ...   Souvent, à l'entrée des villes est indiqué le nombre d'habitants. le chiffre en dessous indique l'altitude. Manfred qui vient de Hambourg. Il a la gentillesse de me donner quelques cartes routières des pays qu'il a traversé et qui vont bien m’être utiles. Beaucoup de mi...

 Petit tour d'horizon de la ville ... La tour Galata. La mosquée bleue Sainte Sophie.  Le palace de Topkapi, un des plus fameux parmi les nombreux palais de sultans se trouvant sur les rives du Bosphore. Un autre palais.  En traversant le détroit du Bosphore, on se retrouve sur le continent asiatique. La cité est également traversée par un bras de mer ; La Corne d'Or. Le café Pierre Loti, l'ecrivain entretenait des liens très fort avec la Turquie. Istanbul, est aussi un haut lieu de commerce, ici le Grand Bazar,  Un caravansérail, ou sont installés maintenant des fabricants de bijoux. Les commerces et les marchands sont partout, même au milieu des nombreux embouteillages. Comme dans beaucoup de lieux touristiques,  mais particuliérement ici, il faut se méfier des arnaques. Cette part de gâteau fourré aux pistaches uniquement sur les extrémités nous a b...

Me voilà en Turquie ! J'allonge mon parcours d'une centaine de kilomètres  afin de passer la frontière en évitant les grands axes routiers mais je me rendrai compte plus tard que ça ne changeait pas grand chose. J'arrive à Edirne, ancienne capitale ottomane. Je suis vraiment impressionné par l'hospitalité des turcs. Même au poste frontière, je me fais offrir un thé par le douanier de faction. Régulièrement les gens m'interpellent, me posent des questions sur mon parcours et m'offrent à boire ou parfois à manger. La route vers Istanbul n'est pas si petite que je le pensais, plus j'approche de la métropole, plus la circulation devient dense. On est samedi et les parcs à l'entrée de la ville sont plein de stambouliotes (habitants d'Istanbul) qui viennent pique-niquer avec leur barbecue. Il y a des mosquées partout, ou que l'on pose le regard on aperçois des minarets, c'est magnifique. S...